cccp en vadrouille...

merci a tous les menbres EVA pour leurs messages sympathiques...

Ce sont toutes ces petites complicités, ces attentions discrètes, ces centaines de sourires qui ont façonné ma vie. Merci !

Salut à toi Tchekov, et encore GG à toi et karpov pour ce recyclage à 4 mains ^^

(PS : je préfère ton avatar de Vincent )

Goedemiddag Tchekov!!

Fais ici comme chez toi. Ravie de te voir faire le mur pour nous rendre visite.

Méfie toi quand même de certain(e)s sont pas très nets.

Salutations, Tchekov !

Les nuages m'avaient à peine soufflé ta venue en ces lieux que le réapprovisionnement de notre bar avec les meilleures vodka de l'univers battait déjà son plein (et tu peux me croire, il était déjà bien fourni ).
Alors je t'en prie, profites bien de ta petite pause au paradis, installe toi confortablement au creux d'un nuage, et hydrate toi à volonté

Bienvenue charmant jeune homme venu du froid!

Puise ton séjour au Paradis réchauffer un peu tes muscles endoloris et rosir ton teint d'albatre !

Si tu as trop chaud, voilà un petit pagne ...

MDR

Je connais la sortie, ça va, me pousser pas...

Black Mamba, qui venait juste d'arriver, remarqua le mât affublé d'un drapeau rouge :

"Tiens tiens, on dirait que nous avons de la visite...J'espère que c'est de bonne augure ! "

Au cas où, elle se coiffa les ailes, enfila sa combinaison moulante jaune, ajusta ses ptites bottines et fendit l'air jusqu'au hall d'accueil, situé à côté du gros nuage ! Arrivée là, elle se posa, toisa l'assemblée et aperçu un être gigantesque, à la carrure imposante et au regard glacial...

<Voix off ON>
"Black Mamba, ma poulette adorée, rappelle toi que tu as des culs de bouteilles sur les yeux et que t'es myope alors voir les yeux de cet étranger d'aussi loin, à moins que tu sois Superman, ce n'est pas possible..."
<Voix off OFF (mouarf j'en rigole toute seule)>

"Oui bon, va voir tes lapins si j'y suis, la voix off ! Tu veux que je dise à tout le monde que ton prénom c'est Raymonde et que t'es pas capable de t'asseoir sur une chaise sans te casser la figure ?

Ah bah voilà, c'est dit ! "

Black Mamba, qui se parlait à elle même, s'interrompit quand elle vit l'assemblée bouche bée, avec des yeux gros comme ça, l'air de dire qu'elle était complètement timbrée :

"Bon revenons à nos moutons, excusez moi pour ce petit aparthée...Bonsoir à vous seigneur tchekov ! Vous qui ne laissez que mort et destruction sur votre passage ! Malgré qu'aucune peur habite nos doux visages d'anges, je peux vous dire que votre réputation vous précède...Mais nous sommes enchantés de vous accueillir dans notre humble nuage..."

Black Mamba fixa le grand soviétique, lui fît un clin d'oeil et avant de s'envoler, lui dit :

"J'oubliais, il me semble que vous avez de drôles de fréquentations dites donc ?!? Bah oui, vous cotoyez la morue, en gros "Pitchouns", je vous souhaite bien du courage, malgré sa petite taille et sa blondeur, elle donne beaucoup de fil à retordre...N'hésitez pas à la fouetter de temps en temps, ça lui apprendra les bonnes manières héhé !!! Sinon revenez quand vous voulez..."

Et sur ce, Black Mamba s'envola, laissant derrière elle, une nuée de plumes, qui vinrent etreindre Tchekov...


FIN...




(Ce RP est un hommage à Yota, le plus kitchissime dragueur de tous les temps )

Une colombe vola à travers le ciel pour se poser sur l'épaule de Black Mamba, un message était fixé à sa patte avec un morceau de tissus rouge.

Black Mamba retira délicatement le message et la colombe s'envola avec la délicatesse d'une pétale qui pourrait tomber à l'envers. Elle déroula ce document qui s'apparentait à une pétale de rose blanche avec un texte marqué à l'aide d'une plume très délicate ...

Une colombe pour une femme qui au milieu de cette violence garde un coeur pur, un coeur que je convoite, une convoitise sans limite qui me pousse à traverser 15 univers entiers pour lui demander sa main.

Yota Skywalker
Famille Camora

Black Mamba touchée par ce message tomba à genoux et laissa couler des larmes de joie ... ou de tristesse ...

Black Mamba, sentit quelque chose qui la grattait sur l'épaule...
Elle fît pivoter sa tête et tomba nez à nez avec un pigeon (non c'était pas une colombe, spice d'arnaqueur) qui avait dû être gavé avant son envol car la bestiole ailée était bien portante quasi obèse, elle se dit à elle même :

"Il est 16H et toujours rien à se mettre sous la dent !!! Ces heures de vol m'ont épuisé et mes ailes ne se déplient même plus ! Et manque de bol pour toi, tu m'as l'air bien dodu et fort appétissant..."

Black Mamba saisi le pigeon, brancha sa TV et son magnétoscope, surtout ce dernier en fait, car elle y engouffra une cassette de Maïté à son heure de gloire...

"Bon alors tout d'abord, plumer le pigeon" se dit-elle !

Ni une ni deux, le pigeon fût à poil en moins de deux, preuve que Black Mamba savait toujours y faire avec les mâles...
Ensuite, suivit une série de choses abjectes, genre : vider le pigeon, lui couper la tête, brider ses ailes puis enfin...un peu d'huile sur la carcasse et...

Au four...

1 heure passa, et le pigeon était cuit ! Black Mamba invita sa copine Pitchouns à venir manger cet innocent volatile !

Le temps passa, les bouchées passèrent mais Pitchouns avala quelque chose de travers!

Mais que se pouvait il bien être ?

Personne ne le sût car l'objet resta coincé dans la gorge de Pitchouns et elle mouru...



C'est comme ça que Black Mamba n'appris jamais la vérité ! Elle perdit une amie mais gagna un bon repas !!!


FIN...

Black Mamba a écrit:

Personne ne le sût car l'objet resta coincé dans la gorge de Pitchouns et elle mouru...

C'est encore Pitch le dindon de la farce!


Oui,bon, ça va pigeon/poulet/gallinacée/dinde, pffffff

Dommage pour Pitch, on l'aimait bien ...

Une personne frappa à la porte de la chambre d'hôtel et tira Yota Skywalker de son rêve décrit plus haut, en deux/trois mouvements il sauta dans un costume officiel de la Mafia avec le petit mouchoir qui dépasse et un bouquet de fleurs tellement bien garni que le Jardin des Plantes à coté aurait été un manque de gout total !

Un coup de pchit pchit pour effacer les odeurs du voyage avant d'ouvrir cette porte ...

Un instant de frayeur mellè à une excitation de voir apparaitre la femme de sa vie belle comme un levé de soleil, ses rayons imaginaires traversèrent le coeur du mafieu et lui donnèrent assé de courage pour tourner la poignée ... La porte s'ouvrit doucement et laissa apparaitre l'homme d'étage.

- Hein ? T'es qui toi demande le mafia avec une rage non feinte
- B'jour missieur, ye suis l'gars d'étage.
- Il me veux quoi le nabo d'étage ?
- Misieur pas bon humeur ? demanda le nabot.
- Non misieur pas bon humeur, dis moi ce que tu veux avant que j'éclate ta tronche de cake ...
- Ok missieur ... Dites moi pas que j'tient l'carton de funeraille d'une de vos conniassance dans ma main ? fît le nabo avec un légé sourire.

C'est dingue comment l'épiderme de la peau peu changer de couleurs en fonction de la nouvelle apportée par un nabot. Yota Skywalker saisie le carton, se retourna en claquant sa porte qui fît hurler de douleur le nabot qui avait pas encore retiré sa main en guise de pourboire ...

Le regard dans le vague, le mafieu reposa le bouquet de fleur dans son vase et pris place dans un fauteuil, il n'osait lire ce carton représenté par une croix et une colombe s'envolant ... Une colombe ... A peu près la même que celle envoyé par Yota Skywalker acheté au préalable à un marchand embullant lui ayant certifié la qualitée de l'oiseau ... Un peu plus gris peu être, et un peu plus enveloppé c'est vrai ...

Il déplia le carton et lu ce message qui allait peut être sugné la fin de sa propre existance :

Pitch nous a quitté dans d'affreuses souffrance
Enterrement prévu dans l'après midi à l'adresse ci-join

Yota Skywalker se senti soulagé par cette nouvelle ! Ce n'était que pitch et cette enterrement lui presenta une occasion en or pour rencontrer la femme de sa vie face à face et obtenir une réponse pour sa demande ...

vous n'êtes pas sympa la...la pauvre...

ce topic devient trop facile...compliquons un peu la chose

Et si nous parlions de tout et de rien,
n'ayant d'autres contraintes que l'alexandrin ?

Je vous en prie, vous dont la virtuosité,
Sait créer en ces vers un monde de beauté,
Venez, imaginez, et celà, composez !

Pour ceux qui craignent de ne pas y arriver,
Ou qui plus simplement sont un peu fatigués,
Que leur recherche puisse s'affranchir du mètre,
Qu'alors la rime seule leur servent de maître....

Il n'en faudra pas plus pour que je succombe
Le rouge est à la mode en plus cet hiver

Emportez nous, fier chevalier,
Surfons sur une vague de vodka,
Testons l'ivresse communiste !

Cela ne pouvait qu'être inévitable
Ha, il est tout ce que nous aimons
Organisons nous pour en avoir chacun(e) un bout
Unanimement, vous êtes le bienvenue très cher TchekoV



Ame, Accro only

Bien, vous désirez parler en alexandrins.
Pourquoi pas ! Poursuivons donc cette discussion.
Vous suggerez de parler de tout et de rien.
Mais nous pouvons y voir tant d'interprétations !

Pensiez vous à ce qui nous rassemble en ces lieux ?
Parler de tactique, stratégies, ou même de guerre ?
(Car si on prête aux anges la pureté des cieux,
A défaut de lumière, certains sont de fer !)

Ou bien pensiez vous donc à toute autre chose ?
De ce qui est par dela le pixel, l'écran ?
He bien soit ! Allons-y donc, puisqu'il faut qu'on cause !
Parlez nous de vous, qui êtes de ces "grands méchants" !

Loin de l'étendard rouge et or que j'admire
Dévoilez vous, ne faites plus de mystères !
Ainsi un peu plus de vous j'espère pouvoir lire,
Que tombe le masque, la cape rouge derrière les vers !

(De plus il y a là une autre utilité,
Car ces vers empêcheront certains de flooder ! )

Le soleil parfois par des nuages est caché;
Le ciel perd alors sa profondeur bleutée,
S'étale en d'inquiétantes nuances grises;
De ces sombres tourments l'esprit vaillant se grise,
Lance son vb en un galop vigoureux,
Affronte la terrible fureur des cieux;
Les faibles attendent, prosternés, dans la terreur,
Que le soleil clément envoie une lueur.
De comètes agrégées les planètes sont formées;
C’est précédées de leurs faisceaux enluminés,
Que toutes s'écrasent vaillament sur la terre,
Nous sommes issus de leur feu et leur poussière.
.......................................................................
......................................................................
Ravi je le suis aussi de vous rencontrez là
Mais je vais de ce pas voir danser les princesses
De celles qui illuminent de leurs pieds légers
Le pétale rose pale d'une armerie séchée
Mais sur la peau si fine toute irisée de sève
Le rouge de l'amour l'habille comme un glaive
D’une humeur de larmes ne cueillons pas la dame
Laissons là s’égrainer pour ces prochaines années
......................................................................
......................................................................
Sur des êtres inconnus? Mais je dois m'arrêter
Ma flotte vient de sonné, je dois aller manger.....

Diable! Que de remue ménage au paradis!
Les muses envoutantes seraient-elles de la partie?
Alexandrin dites-vous? Quelle drôle d'idée vraiment.
Accrostiches, pastiches nous avons ça dans le sang
Mais manier les vers, la prose n'est pas si aisé
N'est pas Ronsard, Baudelaire ou Prévert qui veut.
Mais soit, je veux bien aujourd'hui jouer le jeu,
En espérant ne point vous le faire regretter.

Quand aux deux mécréants qui dans mon dos médisent
Sachez que le silence est le plus grand mépris.
Votre bile acide n'atteint pas, quoiqu'on en dise
Mes plumes angéliques si utiles au paradis.
Yota avec la raie quel couple si parfait!
Les déclarations niaises vont vite fuser.
Même "Nous deux" ne pourra pas rivaliser
Face au mélodrame qui va ici se jouer.

EDIT: je suis quand même plus à l'aise avec des accrostiches...

félicitations à tous je suis impressionné...

Donc d'humeur épisotolaire, une fois n'est pas coutume, je prends ma plume pour converser avec vous et ne plus utiliser mon habituel véhicule linguistique, pour ainsi vous bercer d'une prose au vocable que j'aspire à parfaire...Il me plaît en effet de faire la pratique des termes hèlas désuets et dorénavent rarement usités pour appuyer une réthorique ô combien obsolète et ainsi verifié l'intérêt que vous porter à vos visiteurs...

continuons à flooder tranquille...

jij heeft gelijk pitchoums, laat niet je door door zijn twee doen...

Toujours intéressant de converser de différentes manières
Chacun son style, chacun ses armes
Hors du paradis nous ne voyons que trop de sms d'ados ne sachant plus écrire
Et pourquoi ne pas promouvoir le "qui êtes-vous cher visiteur" plutôt qu'un:
Kiki té toi?
On passerait pour des fous certes mais qui s'en soucis?
Voilà longtemps que nous apparaissont comme tel aux yeux des "djeuns"

Flooder, flooder, voilà mon cher une activité que je ne pensais pas digne de vous
Loin de moi l'idée de vouloir discréditer cet art de ne rien dire
On en a d'ailleurs vu plus d'un succomber à cet exercice
Oh non! pas besoin de vous donner des noms, ils se reconnaitront
De leur part rien d'étonnant voir même on s'y attendait
Et que dire de ceux qui y trouve un certain plaisir
Un mot, un smiley et les voilà satisfaits
Rajoutons à celà un "lol" mal placé et le tableau est complet


Dank jij Tchekov. Hoewel het niet zo lijkt, zijn zij aardig. Soms...

Pitchouns a écrit:

Dank jij Tchekov. Hoewel het niet zo lijkt, zijn zij aardig. Soms...

A tes souhaits...



Flooder ?? Moi ?? grand dieu NON !!
Je serai un bouffon,
Je n'ai pas besoin de ça, d'autres les fonent,
Claquent le fouet sur de nombreux fions...
Je ne citerai personne,
J'ai trop peur qu'on me cartonne.

Yatagan en main, tu files vers le soleil levant
Oubliant ta patrie pour laquelle tu vis
Taciturne dans ta manière d'être, tu écoutes le sifflement de l'air
A la lueur du jour, les rayons du soleil se reflètent sur ta lame

Immortel homme, tu parcoures la Terre
Manquant de peu la fin du monde
Peut-être que la lune t'étreindras de ses bras nocturnes
Osant ce que d'autres n'ont jamais essayé
Sympathisant avec la délicatesse de ta peau d'albâtre
Tu ne seras que l'ombre de toi même
Eteind par tant de compassion
Useras tu de ton charme pour te défaire de cette emprise ?
Regarde devant toi, car mon fils, tu es un homme aujourd'hui...