En fait, j'ai remarqué que personne se présentait...
Alors, je me suis dit que cette lacune se devait d'être comblée.
Chose faite....
Je naquis un jour de mars, quand le soleil passe dans les branches dénudées des arbres qui disent d’une bouche amère ce qui tient leur âme emprisonnée… Mars, mois guerrier, où l’hiver est vaincu par le printemps….
Emporté par les bourgeons, dans des mers enfantines, je grandis dans les océans de la vie, le ressac palpite dans mon cœur et je m’embarque sur les nefs de mes rêves.
Au fil des escales, je cherche dans les reflets d’enfance, des souvenirs comme des zébrures qui couvrent mon front.
A l’est, au sud, au nord, je pris la route de la vie qui m’entraîne toujours, j’ai envie de m’arrêter parfois mais m’entraîne toujours…
Beaucoup de route, avec parfois une longue halte pour serrer des petites mains sur mon cœur.Que m’importe le temps qui passe pour voir les éclats de rire de mes prolongements d’éternité. Un regard vivant, un sourire, un rire, un éclat…
Ces yeux où l’on voit l’horloge qui fait un horrible tic-tac. La poignée de cheveux qui s’envole à chaque printemps…
Dans mes pérégrinations, parfois je me pose jusqu'à ce que le point qui scintille disparaisse.
Jusqu’ à ce que le point qui éclabousse de lumière disparaisse.
Non ce n’est pas l’aurore ni même le midi, c’est une espèce de crépuscule.
Et la route qui m’appelle. Qui m’appelle toujours.
Un jour, le monde devint si noir, si sombre, que l’on ne distinguait plus l’ombre de la nuit.
Les étoiles s’éteignirent les unes après les autres, mes lunes s’entrechoquaient aux soleils.
Et j’ai rencontré les grosses têtes de têtes d’Anges carabosse.
Et lorsque je rentre dans la reine des arènes, je suis comme un petit taureau, devant la grande Reine Maâtkaré. Un petit taureau. Un taureau de combat, comme grand père et papa, qui sont tombés dans l’arène….
En continuant ma marche, j’ai vu un oiseau des sources, un chant un plein envol, c’est bien elle, c’est ma pierre, si vous la rencontrer, la figure dans le vent, affrontant les méchants, déclinant toute invitation première c’est bien elle c’est Amethyst.
Et comme toujours, je vois les grosses têtes de têtes d’Anges carabosse, qui machaient le même chewing gom .
T’en souviens tu ma Pitchouns, nous étions dans un champs de ruine, le ciel était couleur de pomme et tu m’offrit un chewing gom.
Jusqu'à ce que le point comme un ver luisant, disparaisse, il me faut l’alcool, deuté enflammé et indispensable que je pourrais partager avec Anya, qui pourrait me rendre humble… Encore un verre, un verre, Un verre pour que je puisse me tromper.
Jusqu’à ce que le point qui rougeoies dans ma gorge brûlante disparaisse jusqu’à ce que le point translucide, comme une larme disparaisse, oh Mamba sers moi encore un verre et ne dis rien, que dis tu, mais que fais tu de ma raison irrationnelle ?
Jusqu’à ce que le point, tel un poing disparaisse, levé dans la révolte, il te faudra du temps, désespérément sur ce point, pour que tu m’apprennes le cancre de Prévert,, Casstroie, le véhicule de la connaissance.
Patientes walli_g jusqu’à ce que le point qui éclabousse de lumière disparaisse, si tu laisse faire, jusqu’à le point de mon cœur qui palpite pour tes amazones disparaisse.
A l’est, au sud, au nord, je pris la route de la vie qui m’entraîne toujours, j’ai envie de m’arrêter parfois mais m’entraîne toujours…
Et j’ai rencontré les grosses têtes de têtes d’Anges carabosse.
Ils s’appelaient, amethyst, black mamba, pitchouns, maâtkaré, amiral thrawn, tenshi, grabjii, anya, naga sadow, lord M, lord zipaknar, shisture, pacholle, alkazar, 12efir, zetto, onouk, walli_g, casstroie, ruskof, yota skywalker. Kazuma. certains priaient Jésus, Jéhovah ou Vishnou, d’autres ne priaient pas mais qu’importe le ciel, ils ne voulaient simplement ne plus vivre à genoux.
Il me faudra du temps, pour que ce point monté dans la révolte disparaisse, en souffle lent sur ce coin, avec les déesses, que je vois disparaître au loin en un point en forme d’ovule.
J’ai traversé les univers, et le repos est là jusqu’au 30 ?
Demain je croiserai, au détour d’un chemin, où un enfant tirera des balles dans l’univers, dans les soleils, des VB d’acier…. Comme un point qui scintille.
Remerciements :
Je tiens à remercier pour ce texte les personnes suivantes.
- Pour l’espion du KGB, le ressortissant CCCP, le stalinien de service Aragon pour un phrase piqué dans nuits et brouillard.
- Monsieur l’abbé Retta, pour l’analogie armée et éponyme pour l’enfant dieu de l’uni 3 qui reprit mon compte. A cheval sur une poutre électrique, l’enfant dieu tira et tremblant descendit de son siège. Puis il s’enfuie en disant venez voir, venez voir, j’ai tuer mon uni 3, car il ne voulait plus de moi pour enfant..
- Kazuma, qui me tint compagnie pendant mes élucubrations corwinauniennes.
- Le temps clément de cet après midi, qui me permis d’échanger des balles de ping pong avec mon fils. Balle de ping pong, comme un point qui scintille.. (Comment non ?)
- La ville de Bastia, car elle m’a fait mettre ma voiture à la fourrière. Participant, grâce à ce don supplémentaire, à l’essor des équipements publics.
- Le métro de Paris, car je ne suis pas obligé de le prendre.
- La Motte piquet, le mont Ventoux, les chemins de fer, ma mère, mon père. Maman ! Papa !
- La télévision, l’informatique, le taylorisme, le travail, la guerre…
Et je hurle, et je me cache car les responsables sont grosses têtes de têtes d’Anges carabosse.
Ciao les bambins….